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Le moulin à
Rairé a été crée par un meunier nommé
pierre Barreteau. il est là, pour écraser le grain
qu'il fasse beau ou qu'il pleuve. Le matin, il se lève à
cinq heures pour prendre la relève du garçon meunier.
pierre Barreteau prépare son cheval, l'attèle et charge
les sacs de farine de son et mouture, il passera dans divers villages
pour ses clients. Il prélève sur les céréales
10% du poids en paiement de la mouture. Sur cent kilos, il donne
63 kilos aux clients de farine fleur.
Le soir, pierre
barreteau va manger tandis que son père prend le relais.
Il ne partira pas tant que son collègue ne sera arrivé;
il profite de cette heure pour monter les sacs, graisser les engrenages
et remplir la trémie au moment où la cloche sonnera.
Le bonheur de ces
festivals au milieu de l'hiver amène dans le logis des moments
de joie.
Le soir, ils font la veillée avec des personnes voisines
: ils jouent à la vache (jeu d'alouette) en mangeant des
crêpes ou les fouti-masson dans chaque maison.
Ils ont chacun leur façon de faire. On voit que cette force
qui annoce le printemps, d'abord la chandeleur ou des crêpes,
puis la carême. Soudain le silence fût, le vent partit
avec les forces qui entraîne le moulin.
Il monta en haut
du moulin et regarda à l'horizon puis prédit que le
vent arrivera dans un quart d'heure. Il rete inquiet car les moissons
se balance au grès du vent et que son travaille n'avance
pas. L'automne arrive, il regarde ce paysage de paix.
Il partit quelque
mois plus tard, arrivait en permission en mai 1916, ne voulant pas
alarmer les siens, il fut tué pendant la bataille de la somme
en août 1916.
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